Par : Ursula Leonowicz
Publié le 11 mars 2017 dans le Montreal Gazette
“Quand je suis devenu courtier, j’ai travaillé avec quelqu’un qui ne faisait pas beaucoup de publicité, mais elle avait d’excellents résultats”, a déclaré Fridman. “Avec elle, j’ai appris que l’immobilier est plus une affaire de relations personnelles que de volume”.
l’immobilier est plus une affaire de relations personnelles que de volume
Fridman a vendu moins de maisons que ses 10 meilleurs pairs l’an dernier, elle s’est concentrée sur des maisons et des condos de luxe à plus forte marge. Pour réussir sans des centaines de listes, Fridman a dû prendre le temps de vraiment connaître chacun de ses clients, et de les aider à chaque étape du processus d’achat/vente.
«Si des clients achètent une maison à 300 000 $ ou une maison à un million de dollars, ils auront besoin du même type d’aide», a-t-elle dit. «C’est notre rôle de guider et de renseigner nos clients.»
Le passage de Fridman dans le domaine de l’immobilier a commencé après un travail de rêve dans la publicité qui s’est terminé après un burnout et un changement d’objectif. Après que son père lui ait suggéré d’obtenir son permis d’agent immobilier, Fridman s’est rendu compte que l’immobilier alliait beaucoup de ses intérêts: communications, marketing et droit relatifs à ses études à l’Université d’Ottawa et la vente en travaillant chez Betsey Johnson pendant ses études.
Fridman avait prévu de retourner à l’école pour se spécialiser dans le droit d’auteur, mais son changement de carrière lui a fait comprendre qu’il faut se tenir prêt à tout – une leçon qui s’applique grandement à l’immobilier.
À cette fin, Fridman aide ses clients à être préparés en abordant des sujets auxquels ils ne pensent pas forcément – comme les zones scolaires, par exemple – au lieu de simplement se concentrer sur les caractéristiques d’une maison particulière.
«Les courtiers immobiliers ne vendent pas seulement des maisons, ils négocient des transactions pour leurs clients», a-t-elle dit. “Mes clients me font confiance pour ne pas les mettre dans la mauvaise maison, une maison qu’ils ne peuvent pas se permettre, ou quelque chose qui n’est pas bon pour eux.”
Après neuf ans dans le domaine, Fridman sait que ce qui est important pour ses clients n’est pas son rayonnement sur internet. C’est le fait qu’une fois qu’une connexion est faite avec ses clients, cela devient une relation de vie, parce qu’elle a leur retours et comprend leurs besoins.
Traduis de : http://montrealgazette.com/life/homes/what-it-takes-to-be-one-of-quebecs-top-real-estate-brokers